Atelier Populaire d'Art Plastique, Lyon
Cycle de 9 ateliers de linogravure avec Dominique Lechec à 9h30.
Samedi 5 avril 2025 de 17h à 19h.
Entrée gratuite, adhérents et non adhérents.
Nous reconnaissons souvent, au premier coup d’œil, sur une photographie, une vue de de Lyon. Nous
chercherons à préciser ce que nous ressentons plus ou moins inconsciemment en parcourant Lyon. Qu’est
ce qui fait la personnalité d’une ville ? De Lyon en particulier? Lyon est une ville située sur un des grands
axes de circulation européen. Contrairement à nombre de villes, il n’y a pas de monument lyonnais qui
attire, en masse, les touristes. C’est l’intérêt de la ville dans toute sa complexité qui a conduit au
classement de l’UNESCO comme patrimoine de l’humanité. Lyon n’est pas une ville issue d’un terroir mais
une ville carrefour, ouverte sur les échanges de tous ordres. En matière d’architecture, Lyon est une ville du
milieu, entre Méditerranée et nord de l’Europe, entre Alpes et Massif Central. Son histoire architecturale se
situe entre deux pôles, Rome et Paris. Pour autant, Lyon possède sa propre identité irréductible à un simple
jeu d’influence.
Cycle de 9 ateliers de linogravure avec Dominique Lechec à 9h30.
Samedi 17 mai 2025 de 17h à 19h.
Appréhender l’histoire de l’art autrement.
Présentation gratuite pour tous adhérents et non adhérents.
de 17h à 18h30.
Appréhender l’histoire de l’art autrement.
Présentation gratuite pour tous adhérents et non adhérents.
Courants majeurs du XVIIe siècle, le Baroque et le Classicisme adoptent pourtant des esthétiques très différents. Une dualité va émerger, qui marquera l’Histoire de l’Art pendant de nombreux siècles. Lors de cet atelier, nous analyserons des œuvres du Caravage, de Nicolas Poussin et du Bernin, dans l’objectif de distinguer une œuvre barque d’une œuvre classique.
Cycle de 9 ateliers de linogravure avec Dominique Lechec à 9h30.
Cycle de 9 ateliers de linogravure avec Dominique Lechec à 9h30.
Entrée gratuite, adhérents et non adhérents.
La restauration des monuments anciens, au sens moderne, consiste à s’attacher à conserver un édifice pour des raisons liées à « l’art » ou à « l’histoire ». Ces deux termes nous sont révélés par la peinture : veut-on édifier le monde tel qu’on voudrait qu’il soit, ou qu’il a été, ou bien veut-on contempler en lui le reflet d’autres époques, d’autres modes de pensée, d’autres visions du monde ?
Dans tous les cas, une mauvaise restauration peut être dramatique, mais dans le cas d’une architecture, le passage du temps peut être bien aussi important que l’œuvre originale, ce que John Ruskin a identifié dès le XIXème siècle. Est-il possible de restaurer du temps ?
Présentation d’un cycle de 4 conférences par Paul Barnoud, Architecte des monuments historiques.
Samedi 23 novembre 2024 de 17h à 19h.
Entrée gratuite, adhérents et non adhérents
« Les peintres nous ont appris à voir. Peut-on peindre et restaurer le temps ? »
Peut-on parler de sensibilité dans la restauration des édifices ?
Notre regard moderne a été façonné par les peintres qui nous ont appris à voir. Nous souhaitons ici explorer un domaine particulier : comment les peintres rendent compte du passage du temps. « Rien de sera tout à fait comme avant », phrase banale, propos de café du commerce, et pourtant nous sommes là au cœur du sujet.